Suis les étapes dans l’ordre. Tu peux tout afficher ou te limiter aux 6 premières pour démarrer proprement.
Suis les étapes dans l’ordre pour éviter les erreurs courantes et gagner des semaines. Tout ce qu’il faut est ici.
Commence par simuler ton projet (volume, population, plantes), choisis une cuve adaptée, pose le sol, installe filtration, chauffage et éclairage, puis lance le cyclage (3–4 semaines, NO₂ = 0) avant l’introduction des poissons. Tout est numéroté ci-dessous.
Voici l’ordre recommandé. Chaque étape mène à sa section dédiée.
Guides piliers & ressources détaillées : 16 articles de fond (compatibilités, CO₂, électricité, algues, etc.) pour aller plus loin sans surcharger la page d’accueil.
Voir les 16 guidesLa base de connaissances pour réussir chaque étape : matériel, eau, plantes, population, entretien…
Lance et stabilise ton aquarium sans galérer : méthodes claires, outils et ressources.
Trois outils pour dimensionner ton projet sans te tromper : volume & population, sols & substrats, et éclairage/PPFD. Résultats clairs, réglages sauvegardables, recommandations concrètes.
Estime le volume utile (net), la charge biologique et les scénarios de peuplement compatibles (zones de nage, tempérament, paramètres). Le simulateur propose des bancs équilibrés, des ratios M/F et des alertes de surpopulation.
Calcule les litres et kilos de sol selon la cuve (pentes, plages, substrat nutritif + recouvrement). Le module propose des combinaisons low-tech à high-tech, la granulométrie par espèces de fond et des check-lists de mise en place.
Dimensionne l’intensité utile (PPFD) selon la hauteur d’eau, le type de plantes et la diffusion de ta rampe. Départs sûrs, progression hebdo, et rappels CO₂/fertilisation pour éviter les algues.
Trouve en 2 clics les espèces qui correspondent à ta scène : avant-plan, milieu, arrière-plan, gazonnantes, in vitro et plantes à fixer (racine/pierre). Icônes légères, textes clairs, ancres directes.
Petites rosettes & tiges naines pour bordure nette (Cryptocoryne parva, Staurogyne repens). Idéal pour structurer l’entrée de scène.
Tiges et buissons pour le volume central (Hygrophila, Ludwigia vertes). Faciles à tailler, parfaites pour densifier.
Tiges hautes et rapides (Rotala, Vallisneria) pour cacher le matériel et donner de la profondeur.
Couvre-sol denses (Monte Carlo, Eleocharis) pour un rendu d’aquascape. Besoin d’éclairage soigné.
Culture stérile sans escargots ni algues. Prise rapide, portion généreuse pour les layouts précis.
Anubias, Bucephalandra, Microsorum : se collent/attachent au décor. Idéales pour le relief et l’ombre.
Compose une structure lisible (avant/milieu/arrière), sécurise les matériaux et évite les pièges (pH, flottabilité). Trois modules compacts pour partir proprement.
Les roches structurent la lecture du bac : elles guident les lignes de force et créent des zones d’ombre où les plantes et les poissons se sentent à l’aise. Choisis des pierres stables chimiquement (Seiryu : peut augmenter KH/pH ; Dragon Stone : neutre), rince-les soigneusement et cale-les sur le verre avant de verser le sol pour éviter tout glissement. Empile de façon triangulaire (règle des tiers) et varie les échelles pour éviter l’effet « tas ». Pense au passage de la raclette sur la vitre, et laisse des couloirs de nage. Termine par un léger saupoudrage de sable fin pour “finir” la scène.
Les racines donnent le mouvement et la verticalité. Fais tremper (ou fais bouillir si possible) pour réduire tanins et flottabilité, puis fixe Anubias, Bucephalandra ou Microsorum avec une colle gel (cyano “aquarium-safe”) ou du fil. Laisse des zones de circulation et évite les “barrières” qui coupent la façade. Si l’eau prend une légère teinte ambrée, c’est souvent bénéfique (effet botanique), mais tu peux utiliser du charbon après le rodage pour clarifier. Vérifie toujours que la base est stable, surtout en présence de poissons fouisseurs.
Le fond dirige le regard et masque câbles/tuyaux. Un poster noir mat augmente la profondeur et sature les couleurs des poissons ; un gris texturé reste polyvalent. Les fonds résinés (3D) se collent idéalement à sec ; vérifie l’adhérence silicone et évite les poches d’eau derrière. La colle pour poster se pose sans bulle (carte plastique + mouvement du centre vers les bords). Garde un accès simple aux prises/valves (ou prévois des passes-câbles discrets). Teste l’effet au smartphone : si le reflet gêne la photo, passe au mat.
Tests indépendants • Protocoles reproductibles • Mises à jour planifiées
Conditions contrôlées, bac de référence, répétition des mesures et journal de test.
Relectures trimestrielles, correctifs rapides si firmware ou rappel produit.
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